L'égalité homme-femme est un grand défi pour la plupart des pays européens.
Une chose est certaine, on note une prise de conscience des citoyens et des signes encourageants.
Une chose est certaine, on note une prise de conscience des citoyens et des signes encourageants.
Lundi 24 octobre dernier, des milliers d’Islandaises ont quitté leur lieu de travail à 14h38. Ce geste symbolique avait pour vocation de montrer leur
mécontentement vis-à-vis des inégalités salariales (14% d’écart
salariale).
le mouvement "Les travailleuses de France veulent l'égalité" se joignait à cette protestation à l'aide de cette "newsletter" où on explique qu'à partir du 7 novembre à 16h34 (et 7 secondes), les femmes travailleront “bénévolement”. Si les femmes étaient payées autant que les hommes, elles pourraient s’arrêter de travailler le 7 novembre à 16h34. En étant payées 15,1% de moins que les hommes (Eurostat 2010), elles gagneraient alors autant que sur l’année 2016. Les 38,2 jours ouvrés restant représentent la différence de salaire entre les femmes et les hommes. On peut résumer les choses encore plus simplement. Si les femmes arrêtaient de travailler le 7 novembre, elles récupèreraient alors leur dû. Ces 15,1% d’écart de salaire dont elles se font enfler.
Pour en savoir plus:
- Inégalités salariales hommes-femmes: cinq chiffres révélateurs (Europe1)
- Égalité hommes-femmes.Une conquête inachevée (Le Monde)
- Carte interactive avec la liste des rassemblements prevus en France
Autre initiative imaginée par Le salon des dames (qui se définit comme un "mouvement girlpower"): proposer aux femmes mobilisées de s’habiller en rouge, pour être visible.
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