Les èlèves bilingues de 1º ESO ont lu le livre Prohibido leer a Lewis Carroll, écrit par Diego Arboleda et illustré par Raúl Sagospe. C'est un hommage au grand écrivain britannique Lewis Carroll et son célèbre Les aventures d'Alice au pays des merveilles. C'est un livre d'humour et d'aventures folles, avec une grande présence d'illustrations. Comme Lewis Carroll lui-même, Diego Arboleda joue beaucoup avec les mots, le livre est inondé de jeux de mots, certains en français, tous les noms des personnages ont leur petit clin d'oeil. Les élèves ont eu l'opportunité de connaître les auteurs à la Bibloithueque municipale de Cordoue le 6 décembre dernier.
En cours d'anglais, espagnol et français ils ont fait ces ACTIVITÉS:
On a aussi travaillé l'histoire des madeleines: Petit gâteau traditionnel lorrain aux œufs, en forme de coquillage, allongée ou ronde, originaire de Commercy (commune française qui fait partie de la région Lorraine).
La ville de Commercy est le berceau de la madeleine inventée dans les cuisines du château du Roi Stanislas au XVIIIe siècle. Commercy était la cité des "Plaisirs royaux" de Stanislas qui aimait y venir pour la chasse et pour y recevoir ses invités.
La madeleine de Commercy porterait le prénom d'une jeune de Commercy, Madeleine Paulmier, servante de la marquise Perrotin de Baumont, qui en 1755, fabriqua ces gâteaux pour le duc viager Stanislas Leszczyński. Cette tradition lorraine s'est prolongée jusqu'à nos jours.
Selon d'autres sources incertaines, la madeleine remonterait à l'origine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, où une jeune fille nommée "Madelaine", aurait offert aux pèlerins un gâteau aux œufs, moulé dans une coquille Saint-Jacques (qui est l'emblème du pèlerinage)
L'écrivain Marcel Proust l’a immortalisée au début du vingtième siècle dans son oeuvre "À la Recherche du temps perdu". C’est, en effet, le goût d’une madeleine qui évoque soudainement au narrateur Marcel le souvenir de son enfance heureuse à Combray .
La ville de Commercy est le berceau de la madeleine inventée dans les cuisines du château du Roi Stanislas au XVIIIe siècle. Commercy était la cité des "Plaisirs royaux" de Stanislas qui aimait y venir pour la chasse et pour y recevoir ses invités.
La madeleine de Commercy porterait le prénom d'une jeune de Commercy, Madeleine Paulmier, servante de la marquise Perrotin de Baumont, qui en 1755, fabriqua ces gâteaux pour le duc viager Stanislas Leszczyński. Cette tradition lorraine s'est prolongée jusqu'à nos jours.
Selon d'autres sources incertaines, la madeleine remonterait à l'origine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, où une jeune fille nommée "Madelaine", aurait offert aux pèlerins un gâteau aux œufs, moulé dans une coquille Saint-Jacques (qui est l'emblème du pèlerinage)
L'écrivain Marcel Proust l’a immortalisée au début du vingtième siècle dans son oeuvre "À la Recherche du temps perdu". C’est, en effet, le goût d’une madeleine qui évoque soudainement au narrateur Marcel le souvenir de son enfance heureuse à Combray .
"Je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de madeleine. Mais à l'instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d'extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m'avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause."
Depuis Proust, la "petite madeleine" est entrée dans le langage courant. Ainsi, vous entendrez de temps à autre un Français vous dire, "ça, c’est ma petite madeleine à moi" en vous parlant d’un plat que préparait sa mère ou sa grand-mère, ou en évoquant tout événement qui, comme chez Proust, le ramène subitement à son enfance.
Depuis Proust, la "petite madeleine" est entrée dans le langage courant. Ainsi, vous entendrez de temps à autre un Français vous dire, "ça, c’est ma petite madeleine à moi" en vous parlant d’un plat que préparait sa mère ou sa grand-mère, ou en évoquant tout événement qui, comme chez Proust, le ramène subitement à son enfance.
Et quelques recettes:
À l'occasion de la participation de notre lycée au projet "Operación niño de la navidad" les élèves de 1º ESO vont vendre des madeleines faites à la maison pèndant la récré du 19 et 20 décembre.
Les élèves bilingues de 4º ESO vont aussi collaborer avec des crêpes faites par eux-mêmes.
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